Les monnaies complémentaires et solidaires n’ont pas vocation à remplacer l’euro mais plutôt à le compléter en ajoutant une dimension humaine et locale à l’échange et en refusant la spéculation. L’enjeu  repose  sur une prise de conscience pour démontrer qu’il est possible d’échanger des biens et des services en maintenant la richesse sur le territoire au profit d’un réseau d’acteurs engagés. Face à la multitude d’initiatives locales en la matière comment mesurer l’impact des projets? Quels sont les monnaies qui fonctionnent en France ? Quels sont les limites actuelles et  les facteurs de développement ?comment aller plus loin (versement de salaires, d’aide sociale, de primes en monnaie complémentaire…)?